Saumon et urée/ammoniac
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dorothee
nathalie78
sophie1108
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Saumon et urée/ammoniac
Bonjour,
En consultant les recommandations de plusieurs gouvernements concernant les précautions à prendre par rapport à la consommation de poisson et les limites recommandées pour le mercure, je lis plusieurs sites officiels (notamment de la FDA aux Etats-Unis et le Ministère de la santé du Canada) indiquant que le saumon, de par sa teneur insignifiante en mercure, n'a pas à faire l'objet de restrictions de quantité à la semaine (= consommation à volonté).
Pourtant je lis d'autres sources qui mettent en garde contre la teneur du poisson en urée et en ammoniac, et qui préconisent une limite de 2 à 3 portions par semaine...
Savez-vous ce qu'il en est réellement pour le saumon ?
Merci !
En consultant les recommandations de plusieurs gouvernements concernant les précautions à prendre par rapport à la consommation de poisson et les limites recommandées pour le mercure, je lis plusieurs sites officiels (notamment de la FDA aux Etats-Unis et le Ministère de la santé du Canada) indiquant que le saumon, de par sa teneur insignifiante en mercure, n'a pas à faire l'objet de restrictions de quantité à la semaine (= consommation à volonté).
Pourtant je lis d'autres sources qui mettent en garde contre la teneur du poisson en urée et en ammoniac, et qui préconisent une limite de 2 à 3 portions par semaine...
Savez-vous ce qu'il en est réellement pour le saumon ?
Merci !
interprete- Bon point
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Re: Saumon et urée/ammoniac
c'est un poisson gras donc il faut faire attention quand même!
sophie1108- Reçu avec les félicitations du jury
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Mais ces mêmes sources ministérielles déclarent que c'est du "bon" gras dont la consommation est à encourager... je trouve que les recommandations autour du saumon en général sont vraiment à s'y perdre, avec mercure/gras/urée, on ne sait plus à quel saint se vouer.
interprete- Bon point
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Attention, il ne faut pas confondre les recommandations concernant les différents points.
Pour le mercure, ce sont les gros poissons de mer (à la fin de la chaîne alimentaire) qui sont les plus touchés : le thon notamment. Or souvent maintenant, le saumon est d'élevage, donc pas de souci. Par contre on a plus d'oméga 6 que dans du saumon sauvage, du fait de leur alimentation.
Pour les poissons gras, il vaut mieux privilégier les petits poissons comme les sardines et les maquereau (en boîte par exemple, ce n'est pas trop cher et pratique) car ils sont moins contaminés que les gros et sont riches en DHA/EPA.
Quand à l'urée et l'ammoniaque, la dégradation de toutes les protéines, en particulier celles des viandes et poissons (surtout les abats, gibier et poisson gras), en produit. En l'absence de pathologie particulière, comme la goutte, il n'y a pas de crainte particulière à avoir, dans le cadre de consommation mesurée (pas 1 kg de VPO/j comme dans certains régimes!)
Pour le mercure, ce sont les gros poissons de mer (à la fin de la chaîne alimentaire) qui sont les plus touchés : le thon notamment. Or souvent maintenant, le saumon est d'élevage, donc pas de souci. Par contre on a plus d'oméga 6 que dans du saumon sauvage, du fait de leur alimentation.
Pour les poissons gras, il vaut mieux privilégier les petits poissons comme les sardines et les maquereau (en boîte par exemple, ce n'est pas trop cher et pratique) car ils sont moins contaminés que les gros et sont riches en DHA/EPA.
Quand à l'urée et l'ammoniaque, la dégradation de toutes les protéines, en particulier celles des viandes et poissons (surtout les abats, gibier et poisson gras), en produit. En l'absence de pathologie particulière, comme la goutte, il n'y a pas de crainte particulière à avoir, dans le cadre de consommation mesurée (pas 1 kg de VPO/j comme dans certains régimes!)
nathalie78- Tableau d'honneur
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Merci Nathalie, ton explication éclaircit un peu tout ce que j'ai pu lire sur le sujet (qui confirme tes dires).
Mais du coup, si je comprends bien, rien n'incite à déconseiller la consommation d'une portion raisonnable de poisson par jour, 7j/semaine, chez un patient ne souffrant pas de la goutte (ni d'autre pathologie particulière), du moment qu'il ne s'agit pas de thon ou d'autre poisson à teneur élevée en mercure ?
Mais du coup, si je comprends bien, rien n'incite à déconseiller la consommation d'une portion raisonnable de poisson par jour, 7j/semaine, chez un patient ne souffrant pas de la goutte (ni d'autre pathologie particulière), du moment qu'il ne s'agit pas de thon ou d'autre poisson à teneur élevée en mercure ?
interprete- Bon point
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Re: Saumon et urée/ammoniac
sophie1108 a écrit:c'est un poisson gras donc il faut faire attention quand même!
je comprends aps pourquoi il faut faire attention d'après toi sophie ??Parcequ'il est gras ????
dorothee- Modératrice
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Je pense que Sophie a voulu dire qu'il faut faire attention parce que les métaux lourds sont stockés dans la graisse des poissons.
Sinon je ne vois pas car effectivement les saumons, s'ils sont sauvages, sont riches en omega 3.
Sinon je ne vois pas car effectivement les saumons, s'ils sont sauvages, sont riches en omega 3.
Invité- Invité
Re: Saumon et urée/ammoniac
Si les poissons sont d'élevage, alors même gras, il n'y a pas de risque de métaux lourds (mais moins d'oméga 3).
Autrement, on peut sans doute manger tous les jours une portion de poisson si cela est dans les habitudes du patient. Il faut cependant veiller à bien les varier.
Autrement, on peut sans doute manger tous les jours une portion de poisson si cela est dans les habitudes du patient. Il faut cependant veiller à bien les varier.
nathalie78- Tableau d'honneur
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Re: Saumon et urée/ammoniac
http://www.cancer-environnement.fr/LinkClick.aspx?fileticket=OYvk8wJDKIM%3D&tabid=217&mid=1125
Il est effectivement important de varier les poissons. Par contre concernant le saumon d'élevage notamment celui provenant de norvège, je le déconseille aux femmes enceintes car il existe un non respect de la qualité du poisson au profit de la quantité par utilisation massive de pesticides et antibiotiques dans la nourriture de ces saumons. la norvège déconseille d'ailleur la consommation de leurs saumons aux femmes enceintes et allaitantes
Il est effectivement important de varier les poissons. Par contre concernant le saumon d'élevage notamment celui provenant de norvège, je le déconseille aux femmes enceintes car il existe un non respect de la qualité du poisson au profit de la quantité par utilisation massive de pesticides et antibiotiques dans la nourriture de ces saumons. la norvège déconseille d'ailleur la consommation de leurs saumons aux femmes enceintes et allaitantes
Brigitte- Modératrice
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Merci !
Quand vous dites qu'il est important de varier les poissons, c'est pour éviter la monotonie, ou pour des raisons biologiques ?
Quand vous dites qu'il est important de varier les poissons, c'est pour éviter la monotonie, ou pour des raisons biologiques ?
interprete- Bon point
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Pour les 2, et ce n'est pas limité au poisson!
De manière générale, il vaut toujours mieux varier son alimentation, comme cela on ne se lasse pas et on profite des avantages nutritionnels des différents aliments, sans les risques possibles en cas d'excès!
De manière générale, il vaut toujours mieux varier son alimentation, comme cela on ne se lasse pas et on profite des avantages nutritionnels des différents aliments, sans les risques possibles en cas d'excès!
nathalie78- Tableau d'honneur
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Re: Saumon et urée/ammoniac
C'est vrai qu'il y a pas mal de polémiques sur les poissons mais d'une manière générale, il est conseillé d'éviter les poissons qui présentent le plus de risques :
D'après l'Organisation mondiale de la santé, les poissons riches en mercure sont principalement : l'espadon, le requin, le marlin, le thon, la raie et la lotte.
Les poissons les plus pauvres en mercure sont principalement les sardines, le maquereau, les anchois, le hareng, le crabe, le saumon et la truite arc-en-ciel.
Le conseil de Solveig
"Pensez surtout à élargir vos choix de poissons. Il existe plus de 300 espèces comestibles, or nous consommons trop souvent les mêmes espèces ! Pensez aux crevettes grises, aux huîtres, moules, au lieu jaune et lieu noir, à la daurade grise, au merlu blanc..."
Source : Solveig Darrigo, france5
D'après l'Organisation mondiale de la santé, les poissons riches en mercure sont principalement : l'espadon, le requin, le marlin, le thon, la raie et la lotte.
Les poissons les plus pauvres en mercure sont principalement les sardines, le maquereau, les anchois, le hareng, le crabe, le saumon et la truite arc-en-ciel.
Le conseil de Solveig
"Pensez surtout à élargir vos choix de poissons. Il existe plus de 300 espèces comestibles, or nous consommons trop souvent les mêmes espèces ! Pensez aux crevettes grises, aux huîtres, moules, au lieu jaune et lieu noir, à la daurade grise, au merlu blanc..."
Source : Solveig Darrigo, france5
dietjo- Bon point
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Merci pour ces précisions !
Au risque de paraître un peu lourd, je n'ai toujours pas saisi le besoin de varier les poissons... Il me semble (merci de me corriger si je me trompe) que le saumon par exemple offre tous les apports bénéfiques qu'on peut attendre des poissons, tout en présentant un très faible taux de mercure (contrairement au thon blanc en conserve), et avec une quantité raisonnable en purines en jeu (qui est beaucoup plus élevée pour la sardine par exemple)...
Du coup, à part l'argument de la monotonie, dans le cas du saumon, je ne comprends pas pourquoi la variété serait nécessaire.
Merci d'avance
Au risque de paraître un peu lourd, je n'ai toujours pas saisi le besoin de varier les poissons... Il me semble (merci de me corriger si je me trompe) que le saumon par exemple offre tous les apports bénéfiques qu'on peut attendre des poissons, tout en présentant un très faible taux de mercure (contrairement au thon blanc en conserve), et avec une quantité raisonnable en purines en jeu (qui est beaucoup plus élevée pour la sardine par exemple)...
Du coup, à part l'argument de la monotonie, dans le cas du saumon, je ne comprends pas pourquoi la variété serait nécessaire.
Merci d'avance
interprete- Bon point
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Re: Saumon et urée/ammoniac
parce qu'il faut alterner les maigres et les gras!pour avoir tous les bienfaits de ces poissons!
sophie1108- Reçu avec les félicitations du jury
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Re: Saumon et urée/ammoniac
Voici aussi un document émis par l'ANSES à ce propos pour les personnes qui mangent beaucoup de poissons et suite à une étude :
"Forts consommateurs de produits de la mer
Etude des bénéfices et risques
Réalisée de 2003 à 2006 par le ministère de l'agriculture et de la pêche, l'Afssa et l'INRA dans 4 régions côtières françaises, l'étude CALIPSO(1) a évalué les bénéfices nutritionnels et les risques de contamination pouvant résulter d'une forte consommation de produits de la mer.
Champ de l'étude
· comportement des gros consommateurs de produits de la mer (habitudes alimentaires et modes d'approvisionnement),
· teneurs en acides gras essentiels, en éléments traces métalliques (ETM) et en polluants organiques persistants (POP) des aliments consommés,
· imprégnation biologique en oméga 3 et en substances chimiques des gros consommateurs (biomarqueurs sanguins et urinaires).
Principaux résultats de CALIPSO
· le niveau de contamination des produits de la mer consommés sur les côtes françaises se situe globalement au-dessous des seuils à risque fixés par la réglementation,
· seuls les plus forts consommateurs de produits de la mer absorbent des doses de contaminants légèrement supérieures aux seuils d'alerte,
· aucun produit de la mer ne cumule en fortes teneurs l'ensemble des contaminants,
· les poissons les plus riches en oméga 3 et en POP sont souvent les mêmes (saumon, maquereau et sardine en particulier),
· les produits de la mer qui contiennent des ETM sont variés,
· la couverture des besoins nutritionnels en oméga 3 est facilement atteinte par la seule consommation de poissons au moins 2 fois par semaine, dont un gras.
Recommandations nutritionnelles et environnementales
· réduire les pollutions environnementales,
· diversifier sa consommation de produits de la mer, tant en ce qui concerne les espèces que les sources d'approvisionnement,
· consommer du poisson au minimum 2 fois par semaine, sans oublier les poissons gras,
· pour les femmes enceintes ou allaitantes :
- limiter à 150g par semaine leur consommation de poissons prédateurs (2), susceptibles d'être fortement contaminés, conformément aux recommandations des instances scientifiques nationales.
- éviter la consommation d'espadon, marlin et siki, susceptibles de présenter des teneurs élevées en mercure.
(1) CALIPSO : Consommations ALimentaires de poissons et produits de la mer et Imprégnation aux éléments traces, polluants et oméga 3
(2) lotte (baudroie), loup (bar), bonite, anguille, empereur, grenadier, flétan, brochet, dorade, raie, sabre, thon… "
"Forts consommateurs de produits de la mer
Etude des bénéfices et risques
Réalisée de 2003 à 2006 par le ministère de l'agriculture et de la pêche, l'Afssa et l'INRA dans 4 régions côtières françaises, l'étude CALIPSO(1) a évalué les bénéfices nutritionnels et les risques de contamination pouvant résulter d'une forte consommation de produits de la mer.
Champ de l'étude
· comportement des gros consommateurs de produits de la mer (habitudes alimentaires et modes d'approvisionnement),
· teneurs en acides gras essentiels, en éléments traces métalliques (ETM) et en polluants organiques persistants (POP) des aliments consommés,
· imprégnation biologique en oméga 3 et en substances chimiques des gros consommateurs (biomarqueurs sanguins et urinaires).
Principaux résultats de CALIPSO
· le niveau de contamination des produits de la mer consommés sur les côtes françaises se situe globalement au-dessous des seuils à risque fixés par la réglementation,
· seuls les plus forts consommateurs de produits de la mer absorbent des doses de contaminants légèrement supérieures aux seuils d'alerte,
· aucun produit de la mer ne cumule en fortes teneurs l'ensemble des contaminants,
· les poissons les plus riches en oméga 3 et en POP sont souvent les mêmes (saumon, maquereau et sardine en particulier),
· les produits de la mer qui contiennent des ETM sont variés,
· la couverture des besoins nutritionnels en oméga 3 est facilement atteinte par la seule consommation de poissons au moins 2 fois par semaine, dont un gras.
Recommandations nutritionnelles et environnementales
· réduire les pollutions environnementales,
· diversifier sa consommation de produits de la mer, tant en ce qui concerne les espèces que les sources d'approvisionnement,
· consommer du poisson au minimum 2 fois par semaine, sans oublier les poissons gras,
· pour les femmes enceintes ou allaitantes :
- limiter à 150g par semaine leur consommation de poissons prédateurs (2), susceptibles d'être fortement contaminés, conformément aux recommandations des instances scientifiques nationales.
- éviter la consommation d'espadon, marlin et siki, susceptibles de présenter des teneurs élevées en mercure.
(1) CALIPSO : Consommations ALimentaires de poissons et produits de la mer et Imprégnation aux éléments traces, polluants et oméga 3
(2) lotte (baudroie), loup (bar), bonite, anguille, empereur, grenadier, flétan, brochet, dorade, raie, sabre, thon… "
Fabi34- Délégué de classe
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Emploi/loisirs : diététicienne (cuvée 1979 !)
Re: Saumon et urée/ammoniac
J'ajouterai aussi aux raisons pour lesquelles il faut varier les poissons (et à la limite ne pas en consommer tous les jours): pour préserver les ressources naturelles et qu'ils puissent se reproduire.
Les poissons d'élevage sont limités à certaines espèces et pour les autres, il faut songer que les pêches intensives menacent leur reproduction et donc épuisent les ressources.
Les poissons d'élevage sont limités à certaines espèces et pour les autres, il faut songer que les pêches intensives menacent leur reproduction et donc épuisent les ressources.
morgane_94- Tableau d'honneur
- Messages : 1478
Age : 49
Localisation : IDF
Emploi/loisirs : Diététicienne 2010 en libéral et prof de SVT
Humeur : Trop de boulot = baisse de régime hihihi !!
Re: Saumon et urée/ammoniac
Oui, raison importante que dit Morgane. Et tous les poissons ne peuvent pas être "élevés"
Voici un résumé d'un article sur foodtoday de 2009 :
"En résumé
Le poisson, qu’il soit d’élevage ou sauvage, est sûr et nourrissant. Il n’y a pas de différences majeures entre les deux, sous réserve que le poisson d’élevage soit élevé dans des conditions appropriées. Le poisson d’élevage est une solution viable pour éviter la surpêche et permettre aux consommateurs de suivre les recommandations nutritionnelles invitant à manger davantage de poisson."
De plus, un excès en omega 3 est préjudiciable à la santé.
Et côté budget, ce n'est pas à la portée de tous.
Mais, nous ne savons pas vraiment encore tout dans le domaine de la nutrition.
Voici un résumé d'un article sur foodtoday de 2009 :
"En résumé
Le poisson, qu’il soit d’élevage ou sauvage, est sûr et nourrissant. Il n’y a pas de différences majeures entre les deux, sous réserve que le poisson d’élevage soit élevé dans des conditions appropriées. Le poisson d’élevage est une solution viable pour éviter la surpêche et permettre aux consommateurs de suivre les recommandations nutritionnelles invitant à manger davantage de poisson."
De plus, un excès en omega 3 est préjudiciable à la santé.
Et côté budget, ce n'est pas à la portée de tous.
Mais, nous ne savons pas vraiment encore tout dans le domaine de la nutrition.
Fabi34- Délégué de classe
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BTS Diététique :: L'après BTS :: Les diététicien(ne)s diplômé(e)s :: Divers (nos cas patients, nos réussites, nos échecs...)
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